Image impeccable - Dégâts irréparables

C’est ça la méthode de notre directrice interrégionale Grand Est : « Image impeccable, dégâts irréparables »

Sur notre territoire, nous assistons à une dérive inquiétante du mode de gouvernance instauré par notre direction interrégionale.
La haute sphère interrégionale Grand-Est semble avoir fait le choix clair de privilégier sa réputation et son image institutionnelle, au détriment des conditions de travail des agents, du respect du terrain, et même des projets éducatifs des jeunes.
Pour les agents : un mépris assumé, une souffrance ignorée !

• Plusieurs situations signalées font état de risques psychosociaux graves,
• Les collègues dénoncent un sentiment d’insécurité croissant, un climat de peur, et une absence totale de reconnaissance,
• Les alertes sont minimisées, les souffrances banalisées, les agents éloignés, pendant que les cadres mis en cause sont protégés, renforcés, parfois déplacés, mais jamais sanctionnés !
  Exemples récents :
• Un cadre dénoncé à plusieurs reprises pour des faits de harcèlement ? La réponse apportée aux collègues : « maladresse ». Lui est toujours en poste. La collègue qui a dénoncé est partie.
• Une cadre condamnée pour délit de fuite et destruction de biens publics, dans une affaire médiatisée ? Aucune conséquence professionnelle !
• Une autre cadre mise en cause pour faits graves ? Missionnée ailleurs, tout comme l’agent qui a osé dénoncer. Une symétrie absurde qui laisse un goût amer...

Une gestion catastrophique et autoritaire jusque dans les crises les plus critiques

La crise de l’UEHC de Strasbourg en est l’un des exemples les plus révélateurs.
Des agents, épuisés, au bord de la rupture, ont demandé à être entendus. Ils ont rencontré la direction interrégionale, espérant un geste fort, une remise en question, un appui. Rien de tout cela n’est venu.
La haute sphère interrégionale a choisi de maintenir la prise en charge des jeunes, en niant es conditions de travail précaires et en soutenant un fonctionnement éducatif déjà largement dégradé.
Une fois encore, l’image a primé sur la réalité et sur la sécurité...

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